Page 98 de l’Express de ce jour, on y parle de Gérard Depardieu, mais j’ai pensé à quelqu’un d’autre.

[…]
Il sourit et semble content. Il pourrait s’adresser à la porte et interpeller les nuages, personne n’en serait surpris. L’homme est ainsi fait qu’il faut s’attendre à tout avec lui. Aujourd’hui il enfonce les mains dans les poches de son blouson. S’en va. Disparaît. S’évapore.
Et tout à coup, le vide. Comme s’il n’avait rien après lui. Ni avant, d’ailleurs.
[…]

L'Express 3360 - 25 nov. 2015 p.98

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